
Compte Rendu
Nice 3-2 Evian TG
Menés par deux buts d'écart après un quart d'heure, les Aiglons ont finalement battu Evian Thonon Gaillard dans les tout derniers instants. Le Gym est 4e.A Nice, Stade du Ray, OGC Nice bat Evian TG 3 à 2 (mi-temps 1-2).
8.200 spectateurs
Arbitre : M. Varela
Buts : Cvitanich (20e, 47e), Maupay (90e+1) pour Nice ; Sagbo (3e), Barbosa (14e) pour Evian TG
Avertissements : Abriel à Nice ; Lacour à Evian TG
Nice : Ospina - Genevois, Civelli, Pejcinovic, Kolodziejczak - Digard (cap.), Traoré (Bosetti, 85e) - Pied (Maupay, 87e), Eysseric, Bauthéac (Abriel, 65e) - Cvitanich
Evian TG : Laquait - Dja Djédjé, Angoula, Mongongu, Lacour - Koné, Sorlin (cap.), Barbosa (Rabiu, 87eà, Bérigaud (Adnane, 74e) - Khlifa (Mbarki, 82e), Sagbo
Ils sont fantastiques. Qui aurait misé sur un tel retour des Rouge et Noir après leur deuxième but encaissé, à la 14e minute ? Ils l'ont pourtant fait. Malheureux sur deux perforations ultra réalistes des visiteurs, les hommes de Claude Puel y ont cru, toujours poussés par un public encore exceptionnel.
On pourrait d'ailleurs croire que la clameur du Ray y est pour beaucoup dans la réduction du score. Invité par la Populaire Sud, tout le stade appuyait ses encouragements en dépit du retard au score. Dans la foulée, Dario Cvitanich, à l'entrée de la surface, y allait d'un somptueux lob, petit filet opposé (1-2, 20e).

Le Gym aurait même pu rattraper son retard quelques minutes plus tard. Mais M.Varela estimait que la prise en sandwich de Cvitanich (26e) était régulière. Sur le corner qui suivait, la main pourtant évidente d'Angoula n'était pas sanctionnée. Plus inspiré qu'un adversaire particulièrement rapide en contre, Nice regagnait le vestiaire avec un but de retard.
Il fallait être bien installé dès le retour de la pause, pour voir le Ray exploser. Sur un superbe travail de Valentin Eysseric, tout en percussion, Cvitanich s'arrachait pour réussir son deuxième doublé de la saison (2-2, 47e).

Les pendules étaient remises à l'heure. Le dispositif de Claude Puel était légèrement remanié, avec Didier Digard replacé juste devant la défense. Le onze niçois peinait cependant à trouver la faille dans un bloc très compact et dangereux en contre.
A trente minutes de la fin de la rencontre, le Gym insistait, notamment par Jérémy Pied, qui multipliait les débordements sur son flanc droit. Entré en jeu, Fabrice Abriel permettait à ses coéquipiers de souligner encore la menace aux abords de la surface de Laquait. Traoré (72e) puis Eysseric (75e) manquaient la cible. Nice insiste, pousse. Claude Puel, ambitieux, rentre deux attaquants supplémentaires (Bosetti et Maupay) pour faire la différence. Et ca marche !

Quatre minutes. C'est le temps qu'il aura fallu à Neal Maupay pour renverser Evian et le Ray. Entré en jeu à la 86e minute, le gamin du centre de formation allait faire preuve de la roublardise d'un attaquant expérimenté en plongeant au deuxième poteau sur un ballon en profondeur. Le pied ferme, le numéro 33 glissait le ballon sous Laquait, sans trembler (3-2, 90e). Devenant par la même occasion le deuxième plus jeune buteur de l'histoire du championnat, derrière Laurent Roussey.
Huitième match sans défaite pour les hommes de Claude Puel ; la série se poursuit, et l'année 2012 au Ray se termine en beauté. Dernière étape avant des vacances bien méritées : samedi prochain, à Lyon.
8.200 spectateurs
Arbitre : M. Varela
Buts : Cvitanich (20e, 47e), Maupay (90e+1) pour Nice ; Sagbo (3e), Barbosa (14e) pour Evian TG
Avertissements : Abriel à Nice ; Lacour à Evian TG
Nice : Ospina - Genevois, Civelli, Pejcinovic, Kolodziejczak - Digard (cap.), Traoré (Bosetti, 85e) - Pied (Maupay, 87e), Eysseric, Bauthéac (Abriel, 65e) - Cvitanich
Evian TG : Laquait - Dja Djédjé, Angoula, Mongongu, Lacour - Koné, Sorlin (cap.), Barbosa (Rabiu, 87eà, Bérigaud (Adnane, 74e) - Khlifa (Mbarki, 82e), Sagbo
Ils sont fantastiques. Qui aurait misé sur un tel retour des Rouge et Noir après leur deuxième but encaissé, à la 14e minute ? Ils l'ont pourtant fait. Malheureux sur deux perforations ultra réalistes des visiteurs, les hommes de Claude Puel y ont cru, toujours poussés par un public encore exceptionnel.
On pourrait d'ailleurs croire que la clameur du Ray y est pour beaucoup dans la réduction du score. Invité par la Populaire Sud, tout le stade appuyait ses encouragements en dépit du retard au score. Dans la foulée, Dario Cvitanich, à l'entrée de la surface, y allait d'un somptueux lob, petit filet opposé (1-2, 20e).

Le Gym aurait même pu rattraper son retard quelques minutes plus tard. Mais M.Varela estimait que la prise en sandwich de Cvitanich (26e) était régulière. Sur le corner qui suivait, la main pourtant évidente d'Angoula n'était pas sanctionnée. Plus inspiré qu'un adversaire particulièrement rapide en contre, Nice regagnait le vestiaire avec un but de retard.
Il fallait être bien installé dès le retour de la pause, pour voir le Ray exploser. Sur un superbe travail de Valentin Eysseric, tout en percussion, Cvitanich s'arrachait pour réussir son deuxième doublé de la saison (2-2, 47e).

Les pendules étaient remises à l'heure. Le dispositif de Claude Puel était légèrement remanié, avec Didier Digard replacé juste devant la défense. Le onze niçois peinait cependant à trouver la faille dans un bloc très compact et dangereux en contre.
A trente minutes de la fin de la rencontre, le Gym insistait, notamment par Jérémy Pied, qui multipliait les débordements sur son flanc droit. Entré en jeu, Fabrice Abriel permettait à ses coéquipiers de souligner encore la menace aux abords de la surface de Laquait. Traoré (72e) puis Eysseric (75e) manquaient la cible. Nice insiste, pousse. Claude Puel, ambitieux, rentre deux attaquants supplémentaires (Bosetti et Maupay) pour faire la différence. Et ca marche !

Quatre minutes. C'est le temps qu'il aura fallu à Neal Maupay pour renverser Evian et le Ray. Entré en jeu à la 86e minute, le gamin du centre de formation allait faire preuve de la roublardise d'un attaquant expérimenté en plongeant au deuxième poteau sur un ballon en profondeur. Le pied ferme, le numéro 33 glissait le ballon sous Laquait, sans trembler (3-2, 90e). Devenant par la même occasion le deuxième plus jeune buteur de l'histoire du championnat, derrière Laurent Roussey.
Huitième match sans défaite pour les hommes de Claude Puel ; la série se poursuit, et l'année 2012 au Ray se termine en beauté. Dernière étape avant des vacances bien méritées : samedi prochain, à Lyon.