
Interview
Kevin Gomis : « Un club qui veut grandir »
Deuxième recrue estivale des Aiglons, le défenseur central arrive en provenance du club portugais de Naval. Passé par Le Havre, Rouen et Guingamp, il s'engage avec le Gym pour trois saisons, libre de tout contrat.Kevin, te voilà niçois pour trois saisons...
Je suis très heureux d'être ici. C'est un plaisir de retrouver la France. J'ai passé mes deux dernières saisons au Portugal mais c'était bien dans l'optique de revenir un jour. J'ai discuté avec le coach, le courant est très bien passé, et mes premières séances se sont également bien déroulées.
Après avoir fait tes armes au Havre, à Rouen puis Guingamp, pourquoi t'es-tu exilé à seulement 20 ans ?
J'ai eu l'opportunité de goûter à la première division, de me forger une autre expérience. Et j'ai découvert un championnat de bon niveau où j'ai tout de même affronté des équipes comme Porto, Benfica, Braga... C'était très enrichissant.
Plus compliqué sur la fin ?
La première saison était très encourageante. Nous avons terminé huitième, nous avons atteint la demi-finale de coupe nationale. Le coach a ensuite été limogé et nous en avons connu trois au cours de ma deuxième saison. Le dernier en date était Carlos Mozer, avec qui j'ai de très bonnes relations. Il a effectué du bon travail mais le retard accumulé était trop important et l'équipe n'a pu éviter la relégation.
« Là pour apprendre »
Ton profil ?
Je suis un joueur assez athlétique, puissant, rapide. Je pense avoir un bon jeu de tête, j'apprécie les duels. Après, je n'ai que 22 ans, je suis là pour apprendre. Mais j'ai de l'ambition aussi et je vais tout faire pour bousculer la hierarchie.
Que représentait l'OGC Nice à tes yeux avant que tu ne t'engages avec ?
Je pense à des joueurs comme Echouafni, ou d'autres comme Rémy, Koné, qui ont franchi un cap ici. Je connais un peu la mentalité des supporters, aussi. Je sais qu'ils sont un peu chauds, qu'ils montrent quand ils sont contents ou lorsqu'ils ne le sont pas. Ça me plait...
La perspective du nouveau stade a-t-elle joué dans ta décision ?
Elle est entrée en compte dans ma réflexion, oui. J'ai trois ans de contrat et le stade est censé arriver d'ici là. C'est la preuve que le club veut grandir, c'est forcément important.
Le mot de la fin ?
Un simple merci au staff, aux dirigeants pour leur accueil. J'espère que nous allons réaliser une belle saison et que les supporters seront présents derrière nous, dans les bons moments comme dans les plus difficiles.
Je suis très heureux d'être ici. C'est un plaisir de retrouver la France. J'ai passé mes deux dernières saisons au Portugal mais c'était bien dans l'optique de revenir un jour. J'ai discuté avec le coach, le courant est très bien passé, et mes premières séances se sont également bien déroulées.
Après avoir fait tes armes au Havre, à Rouen puis Guingamp, pourquoi t'es-tu exilé à seulement 20 ans ?
J'ai eu l'opportunité de goûter à la première division, de me forger une autre expérience. Et j'ai découvert un championnat de bon niveau où j'ai tout de même affronté des équipes comme Porto, Benfica, Braga... C'était très enrichissant.
Plus compliqué sur la fin ?
La première saison était très encourageante. Nous avons terminé huitième, nous avons atteint la demi-finale de coupe nationale. Le coach a ensuite été limogé et nous en avons connu trois au cours de ma deuxième saison. Le dernier en date était Carlos Mozer, avec qui j'ai de très bonnes relations. Il a effectué du bon travail mais le retard accumulé était trop important et l'équipe n'a pu éviter la relégation.

« Là pour apprendre »
Ton profil ?
Je suis un joueur assez athlétique, puissant, rapide. Je pense avoir un bon jeu de tête, j'apprécie les duels. Après, je n'ai que 22 ans, je suis là pour apprendre. Mais j'ai de l'ambition aussi et je vais tout faire pour bousculer la hierarchie.
Que représentait l'OGC Nice à tes yeux avant que tu ne t'engages avec ?
Je pense à des joueurs comme Echouafni, ou d'autres comme Rémy, Koné, qui ont franchi un cap ici. Je connais un peu la mentalité des supporters, aussi. Je sais qu'ils sont un peu chauds, qu'ils montrent quand ils sont contents ou lorsqu'ils ne le sont pas. Ça me plait...
La perspective du nouveau stade a-t-elle joué dans ta décision ?
Elle est entrée en compte dans ma réflexion, oui. J'ai trois ans de contrat et le stade est censé arriver d'ici là. C'est la preuve que le club veut grandir, c'est forcément important.
Le mot de la fin ?
Un simple merci au staff, aux dirigeants pour leur accueil. J'espère que nous allons réaliser une belle saison et que les supporters seront présents derrière nous, dans les bons moments comme dans les plus difficiles.