Adrien, quels sont les mots qu’on peut utiliser après une telle défaite ?
Il y a de la déception et pas grand-chose à dire. On n’était pas dedans.

Que voulais-tu dire précisément quand, sur beIN Sports, tu as suggéré que les joueurs « n’avaient peut-être pas compris les consignes du coach » ?
J’ai dit que « je ne savais pas ce qui n’avait pas été » cet après-midi. A chaud, c’est compliqué de faire une analyse, et que les propos ne soient pas interprétés. Il n’y a pas de sens caché. Nous sommes derrière le coach. On est un groupe, on est tous ensemble, il n’y a pas de mésentente. On traverse une période compliquée, et c’est dans ces périodes-là qu’il faut montrer qu’on est ensemble. La roue va tourner. Demain, nous allons faire une analyse du match et on verra vraiment.

La situation est-elle alarmante ?
Je n’irai pas jusque-là. C’est juste qu’en ce moment, on rame, mais il reste quand même pas mal de journées pour se rattraper. Il ne faut pas perdre de temps. Ça va revenir.

Le Gym doit-il avoir en tête le maintien ?
C’est exagéré. On a encore beaucoup de journées, d’équipes à rencontrer et de points à prendre. On va le faire. Nous avons été contents de valider l’Europe face à Zulte, maintenant nous nous concentrons sur le championnat jusqu’à janvier – février. Jusqu’à la trêve, ça va être compliqué, on enchaîne beaucoup de matchs. Il va falloir prendre le plus de points possible.