Compte Rendu
Toulouse 0-0 Nice
Le Gym prend un point à Toulouse qui risque fort de compter pour le maintien. Les aiglons peuvent presque s'avérer déçus, tellement la victoire semblait proche. Un succès dimanche prochain assurerait définitivement leur avenir en Ligue 1.A Toulouse, Stadium, Toulouse FC et OGC Nice 0 à 0.
18.000 spectateurs environ
Arbitre : M. Bastien
Avertissements : Congré, Mbengue à Toulouse ; Clerc à Nice
Toulouse : Ahamada - Ninkov, Congré (c), Abdennour, Mbengue - Capoue, Devaux (Ben Yedder, 67e), Sirieix (Bulut, 80e), Sissoko - Regattin (Akpa-Akpro, 74e), Rivière
Nice : Ospina - Diakité, Pejcinovic, Civelli, Clerc - Digard (c), Sablé (Palun, 64e), Coulibaly, Monzon - Dja Djedje, Gonçalves (Bahoken, 83e)C'est l'éternelle histoire du verre à moitié plein ou à moitié vide. A trois matches du verdict, trois points semblent suffisant pour se maintenir. Le Gym en a recolté un d'un déplacement qui s'avérait compliqué, face à une équipe toulousaine à la lutte pour accrocher l'Europa League. Mais les aiglons sont passés à deux doigts d'une soirée exceptionnelle qui leur aurait permis d'aborder les deux dernières échéances avec sérénité.
Inexistant dans l'entame à Valenciennes, les rouge et noir ont retenu la leçon. Bien regroupés derrière, avec un Monzon dans un rôle inédit de milieu offensif gauche, ils rentraient le mieux dans la partie et méritaient de prendre l'avantage lorsque Coulibaly trouvait le poteau d'une belle frappe du gauche (7e). Si Abdennour répliquait (20e), le Gym contrôlait sans difficulté un adversaire apathique. Monzon échappait sur l'aile tentait une reprise difficile à angle fermée qui ne trouvait pas le cadre. Le cadre, Adrien Regattin, auteur d'un but magnifique au match aller, manquait de le trouver sur une frappe enroulée qui rebondissait sur la tranversale d'Ospina (33e). La seule grosse alerte pour le portier colombien dans le premier acte même si la mi-temps arrivait à point nommé pour un OGC Nice qui commençait à reculer.
Après la pause, les toulousains continuaient sur leur rythme de la fin de première période. Nice subissait mais concédait peu de situations. Pejcinovic, pour son retour, formait une charnière imperméable avec l'aide de son compère Civelli.
Les regrets évoqués en début d'article viennent des dix dernières minutes. A trois reprises, les aiglons se sont trouvés en position de crucifier les violets qui semblaient manquer de gaz. Palun, lancé plein axe par Dja Djedje, se retrouvait seul face à Ahamada mais le milieu défensif se heurtait à la super sortie du portier (82e). Deux minutes plus tard, sur un nouveau contre, Bahoken et Coulibaly se gênaient dans la surface au moment de conclure. Et que dire de cette tête de Pejcinovic sur corner sortie sur la ligne du bout du crâne par Rivière ! (85e)
Le Gym a manqué l'opportunité de se sauver dès ce lundi, mais ce point mérité leur permet d'aborde les deux derniers combats avec trois points d'avance sur la zone rouge, son destin entre ses mains et six équipes dans le rétroviseur. Un succès face à Evian dimanche au Ray (21h) assurera mathématiquement la place des aiglons en Ligue 1 pour une onzième saison consécutive.
18.000 spectateurs environ
Arbitre : M. Bastien
Avertissements : Congré, Mbengue à Toulouse ; Clerc à Nice
Toulouse : Ahamada - Ninkov, Congré (c), Abdennour, Mbengue - Capoue, Devaux (Ben Yedder, 67e), Sirieix (Bulut, 80e), Sissoko - Regattin (Akpa-Akpro, 74e), Rivière
Nice : Ospina - Diakité, Pejcinovic, Civelli, Clerc - Digard (c), Sablé (Palun, 64e), Coulibaly, Monzon - Dja Djedje, Gonçalves (Bahoken, 83e)C'est l'éternelle histoire du verre à moitié plein ou à moitié vide. A trois matches du verdict, trois points semblent suffisant pour se maintenir. Le Gym en a recolté un d'un déplacement qui s'avérait compliqué, face à une équipe toulousaine à la lutte pour accrocher l'Europa League. Mais les aiglons sont passés à deux doigts d'une soirée exceptionnelle qui leur aurait permis d'aborder les deux dernières échéances avec sérénité.
Inexistant dans l'entame à Valenciennes, les rouge et noir ont retenu la leçon. Bien regroupés derrière, avec un Monzon dans un rôle inédit de milieu offensif gauche, ils rentraient le mieux dans la partie et méritaient de prendre l'avantage lorsque Coulibaly trouvait le poteau d'une belle frappe du gauche (7e). Si Abdennour répliquait (20e), le Gym contrôlait sans difficulté un adversaire apathique. Monzon échappait sur l'aile tentait une reprise difficile à angle fermée qui ne trouvait pas le cadre. Le cadre, Adrien Regattin, auteur d'un but magnifique au match aller, manquait de le trouver sur une frappe enroulée qui rebondissait sur la tranversale d'Ospina (33e). La seule grosse alerte pour le portier colombien dans le premier acte même si la mi-temps arrivait à point nommé pour un OGC Nice qui commençait à reculer.
Après la pause, les toulousains continuaient sur leur rythme de la fin de première période. Nice subissait mais concédait peu de situations. Pejcinovic, pour son retour, formait une charnière imperméable avec l'aide de son compère Civelli.
Les regrets évoqués en début d'article viennent des dix dernières minutes. A trois reprises, les aiglons se sont trouvés en position de crucifier les violets qui semblaient manquer de gaz. Palun, lancé plein axe par Dja Djedje, se retrouvait seul face à Ahamada mais le milieu défensif se heurtait à la super sortie du portier (82e). Deux minutes plus tard, sur un nouveau contre, Bahoken et Coulibaly se gênaient dans la surface au moment de conclure. Et que dire de cette tête de Pejcinovic sur corner sortie sur la ligne du bout du crâne par Rivière ! (85e)
Le Gym a manqué l'opportunité de se sauver dès ce lundi, mais ce point mérité leur permet d'aborde les deux derniers combats avec trois points d'avance sur la zone rouge, son destin entre ses mains et six équipes dans le rétroviseur. Un succès face à Evian dimanche au Ray (21h) assurera mathématiquement la place des aiglons en Ligue 1 pour une onzième saison consécutive.