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Compte Rendu
Nice 1-3 Lyon
En ouverture du championnat de Ligue 1, les Rouge et Noir se sont inclinés face à Lyon. Après avoir ouvert le score, ils ont été sanctionés pour leurs moments de flottement. Une copie perfectible, mais tout de même porteuse d'espoirs.A Nice, Stade du Ray, Olympique Lyonnais bat OGC Nice 3 à 1 (mi-temps 2-1)
14.445 spectateurs
Arbitre : M. Lannoy
Buts : Mounier (5è) pour Nice ; Lisandro (10è), Gomis (32è), Gonalons (73è) pour Lyon
Avertissements : Meriem, Diakité à Nice ; Cris à Lyon
Nice : Ospina - Clerc (Gomis, 48è), Mabiala, Pejcinovic, Monzon - Digard (c), Sablé (Diakité, 74è), Hellebuyck (Poté, 60è) - Meriem, Mouloungui, Mounier
Lyon : Lloris - Reveillère, Cris (c), Lovren, Cissokho - Briand (Pied, 85è), Gonalons, Källström, Bastos - Lisandro, Gomis (Belfodil, 76è)Le Gym avait pourtant réussi son entrée en matière. Dans la logique d'un début de match enflammé sur la pelouse et en son bord, Anthony Mounier inscrivait le premier but de la saison 2011/2012. En moins de cinq minutes, ses coéquipiers se procuraient trois corners. Leur agressivité étouffait leur hôte. Des premières lignes idéales dans un scenario hélas moins favorable dès le paragraphe suivant avec l'égalisation, puis la prise d'avantage lyonnaise.
Un retour qui sanctionnait en première instance les moments de flottement des Rouge et Noir. L'appel rusé et la réussite de Lisandro auront eu raison de Pejcinovic sur le premier but. Le ballon relâché par Ospina sur une pourtant belle horizontale aura impliqué le corner fatal sur le deuxième.
Après avoir fait bien plus que jeu égal, Didier Digard et les siens se sont mis à reculer. A subir les assauts toujours plus fréquents des Gones. A perdre trop de ballons dans leur camp, vite rendus dangereux par Lisandro et Gomis.
La mi-temps semblait avoir fait du bien aux hommes d'Eric Roy. Plus en jambes, mieux inspirés, ils manquaient cependant de lucidité sur leurs séquences favorables pour établir la parité. Ceux de Rémi Garde, eux, faisaient preuve d'un réalisme digne de leur statut. Et pour la deuxième fois, David Ospina encaissait un but dans la foulée d'un coup de pied arrêté.
Un rendu frustrant malgré une entame parfaite en terme d'intensité. Les supporters, eux-aussi, auront répondu présent à l'appel et nul doute que les Aiglons, qui pourront compter le week-end prochain sur le retour de Renato Civelli, chercheront à leur rendre à Annecy, contre le promu Evian Thonon Gaillard.
14.445 spectateurs
Arbitre : M. Lannoy
Buts : Mounier (5è) pour Nice ; Lisandro (10è), Gomis (32è), Gonalons (73è) pour Lyon
Avertissements : Meriem, Diakité à Nice ; Cris à Lyon
Nice : Ospina - Clerc (Gomis, 48è), Mabiala, Pejcinovic, Monzon - Digard (c), Sablé (Diakité, 74è), Hellebuyck (Poté, 60è) - Meriem, Mouloungui, Mounier
Lyon : Lloris - Reveillère, Cris (c), Lovren, Cissokho - Briand (Pied, 85è), Gonalons, Källström, Bastos - Lisandro, Gomis (Belfodil, 76è)Le Gym avait pourtant réussi son entrée en matière. Dans la logique d'un début de match enflammé sur la pelouse et en son bord, Anthony Mounier inscrivait le premier but de la saison 2011/2012. En moins de cinq minutes, ses coéquipiers se procuraient trois corners. Leur agressivité étouffait leur hôte. Des premières lignes idéales dans un scenario hélas moins favorable dès le paragraphe suivant avec l'égalisation, puis la prise d'avantage lyonnaise.
Un retour qui sanctionnait en première instance les moments de flottement des Rouge et Noir. L'appel rusé et la réussite de Lisandro auront eu raison de Pejcinovic sur le premier but. Le ballon relâché par Ospina sur une pourtant belle horizontale aura impliqué le corner fatal sur le deuxième.
Après avoir fait bien plus que jeu égal, Didier Digard et les siens se sont mis à reculer. A subir les assauts toujours plus fréquents des Gones. A perdre trop de ballons dans leur camp, vite rendus dangereux par Lisandro et Gomis.
La mi-temps semblait avoir fait du bien aux hommes d'Eric Roy. Plus en jambes, mieux inspirés, ils manquaient cependant de lucidité sur leurs séquences favorables pour établir la parité. Ceux de Rémi Garde, eux, faisaient preuve d'un réalisme digne de leur statut. Et pour la deuxième fois, David Ospina encaissait un but dans la foulée d'un coup de pied arrêté.
Un rendu frustrant malgré une entame parfaite en terme d'intensité. Les supporters, eux-aussi, auront répondu présent à l'appel et nul doute que les Aiglons, qui pourront compter le week-end prochain sur le retour de Renato Civelli, chercheront à leur rendre à Annecy, contre le promu Evian Thonon Gaillard.