Compte Rendu
Nice 1-0 Lyon (a.p.)
Le Gym l'a fait ! Les aiglons ont fait chuter Lyon au terme d'un match admirable et d'un but en prolongation de l'ancien pensionnaire de l'OL François Clerc. Ils affronteront Drancy (CFA) en 8è de finale.A Nice, Stade du Ray, OGC Nice bat Olympique Lyonnais bat 1 à 0 (mi-temps 0-0, temps réglementaire 0-0)
5.606 spectateurs
Arbitre : M. Piccirillo
But : Clerc (97è) pour Nice
Avertissements : Mounier à Nice ; Lovren, Pied à Lyon
Expulsion : Lovren (98è) à Lyon
Nice : Letizi (c) - Coulibaly, Civelli, Pejcinovic, Clerc - Traoré, Digard, Faé, Mounier - Bellion (Ljuboja, 76è), Mouloungui (Sablé, 106è)
Lyon : Lloris - Reveillère, Lovren, Cris, Cissokho - Toulalan (c), Källström, Gourcuff (Delgado, 105è) - Bastos, Gomis (Briand, 105è), Lisandro (Pied, 59è)Nice l'a fait. Outsider de cette affiche des 16è de finale, les aiglons ont fait trébucher l'Olympique Lyonnais pourtant invaincu depuis plusieurs mois. Et cette qualification, les rouge et noir ne l'ont pas volé.
Après la déconvenue de la semaine passée face au LOSC, Eric Roy opérait deux changements, avec les entrées de Mouloungui et Traoré. Mais surtout un système de jeu en 4-4-2 avec un duo Bellion - Mouloungui aux avants-postes et Traoré - Mounier sur les côtés de son milieu. Une nouvelle organisation qui ne tardait pas à porter ses fruits puisque dès la deuxième minute Mounier débordait sur la gauche et centrait au second poteau pour un ciseau acrobatique de Bellion qui manquait le cadre de peu.
Bousculés, étouffés en début de partie par Lille, Nice avait retenu la leçon et débutait bien la partie, sans reculer et avec beaucoup d'agressivité dans les duels. Lyon tentait de réagir par Lisandro (9è) puis Gourcuff (20è) mais sans danger pour Letizi.
La vitesse de Mouloungui perturbait l'arrière-garde lyonnaise, principalement le brésilien Cris qui perdait son duel face au gabonais qui allait pouvoir défier Lloris, mais l'excellente sortie du portier de l'Equipe de France empêchait le Gym d'ouvrir la marque (40è). L'OGCN terminait fort cette première période et un coup franc placé de Digard (44è) était boxé sur sa ligne par un impeccable Lloris. M. Piccirillo renvoyait les deux équipes au vestiaire avec un avantage aux points pour les rouge et noir.
Lyon abordait la seconde période plus déterminé. Lisandro se mettait en action mais butait à nouveau sur Letizi. Le vétéran niçois s'interposait également du pied sur une frappe lourde de Bastos (55è) avant une parade reflexe décisive devant la reprise de volée à bout portant de Gomis (70è). Malgré ces occasions lyonnaises Nice ne reculait pas énormément et maintenait la pression. Le Gym aurait même du bénéficier d'un penalty suite à une faute de Cissokho sur Mouloungui (59è).
Les deux équipes n'étant pas parvenues à forcer la décision malgré d'ultimes opportunités dans les dernières secondes, il fallait jouer trente minutes supplémentaires. Une prolongation rapidement mise à profit par le Gym sur un coup de pied arrêté. Corner de Mounier, Pejcinovic remisait de la tête pour le tacle rageur de François Clerc qui faisait trembler les filets et faisait mettre un genou à terre à son ancien club (97è). Dans la foulée Lovren était exclu (second avertissement) pour une grosse faute sur un contre niçois.
Le Ray poussait son équipe pour inscrire un second but libérateur, l'OL étant obligé de se découvrir. En supériorité numérique les hommes d'Eric Roy ne tremblèrent pas, seule une frappe non cadrée de Reveillère (111è) étant à signaler. Nice tenait sa qualification et se rendra dans le 93 dans dix jours pour les 8è de finale de la Coupe de France !
5.606 spectateurs
Arbitre : M. Piccirillo
But : Clerc (97è) pour Nice
Avertissements : Mounier à Nice ; Lovren, Pied à Lyon
Expulsion : Lovren (98è) à Lyon
Nice : Letizi (c) - Coulibaly, Civelli, Pejcinovic, Clerc - Traoré, Digard, Faé, Mounier - Bellion (Ljuboja, 76è), Mouloungui (Sablé, 106è)
Lyon : Lloris - Reveillère, Lovren, Cris, Cissokho - Toulalan (c), Källström, Gourcuff (Delgado, 105è) - Bastos, Gomis (Briand, 105è), Lisandro (Pied, 59è)Nice l'a fait. Outsider de cette affiche des 16è de finale, les aiglons ont fait trébucher l'Olympique Lyonnais pourtant invaincu depuis plusieurs mois. Et cette qualification, les rouge et noir ne l'ont pas volé.
Après la déconvenue de la semaine passée face au LOSC, Eric Roy opérait deux changements, avec les entrées de Mouloungui et Traoré. Mais surtout un système de jeu en 4-4-2 avec un duo Bellion - Mouloungui aux avants-postes et Traoré - Mounier sur les côtés de son milieu. Une nouvelle organisation qui ne tardait pas à porter ses fruits puisque dès la deuxième minute Mounier débordait sur la gauche et centrait au second poteau pour un ciseau acrobatique de Bellion qui manquait le cadre de peu.
Bousculés, étouffés en début de partie par Lille, Nice avait retenu la leçon et débutait bien la partie, sans reculer et avec beaucoup d'agressivité dans les duels. Lyon tentait de réagir par Lisandro (9è) puis Gourcuff (20è) mais sans danger pour Letizi.
La vitesse de Mouloungui perturbait l'arrière-garde lyonnaise, principalement le brésilien Cris qui perdait son duel face au gabonais qui allait pouvoir défier Lloris, mais l'excellente sortie du portier de l'Equipe de France empêchait le Gym d'ouvrir la marque (40è). L'OGCN terminait fort cette première période et un coup franc placé de Digard (44è) était boxé sur sa ligne par un impeccable Lloris. M. Piccirillo renvoyait les deux équipes au vestiaire avec un avantage aux points pour les rouge et noir.
Lyon abordait la seconde période plus déterminé. Lisandro se mettait en action mais butait à nouveau sur Letizi. Le vétéran niçois s'interposait également du pied sur une frappe lourde de Bastos (55è) avant une parade reflexe décisive devant la reprise de volée à bout portant de Gomis (70è). Malgré ces occasions lyonnaises Nice ne reculait pas énormément et maintenait la pression. Le Gym aurait même du bénéficier d'un penalty suite à une faute de Cissokho sur Mouloungui (59è).
Les deux équipes n'étant pas parvenues à forcer la décision malgré d'ultimes opportunités dans les dernières secondes, il fallait jouer trente minutes supplémentaires. Une prolongation rapidement mise à profit par le Gym sur un coup de pied arrêté. Corner de Mounier, Pejcinovic remisait de la tête pour le tacle rageur de François Clerc qui faisait trembler les filets et faisait mettre un genou à terre à son ancien club (97è). Dans la foulée Lovren était exclu (second avertissement) pour une grosse faute sur un contre niçois.
Le Ray poussait son équipe pour inscrire un second but libérateur, l'OL étant obligé de se découvrir. En supériorité numérique les hommes d'Eric Roy ne tremblèrent pas, seule une frappe non cadrée de Reveillère (111è) étant à signaler. Nice tenait sa qualification et se rendra dans le 93 dans dix jours pour les 8è de finale de la Coupe de France !