Compte Rendu
Arles Avignon 0-0 Nice
Dernier match de l'année ce soir en Avignon, d'où les Aiglons repartent avec un point. Malgré une très bonne première période, ils n'ont pu trouver la faille dans la défense arlésienne.A Avignon, Parc des Sports, Arles Avignon et OGC Nice 0 à 0
9.085 spectateurs
Arbitre : M. Varela
Avertissements : Cabella à Arles-Avignon ; Diakité, Sablé à Nice
Arles Avignon : Merville - Laurenti (c ; Fanchone, 22è), Pavon, Germany, Soro - Ben Idir, Kermorgant, Meriem (Ghilas, 63è), Cabella - N'Diaye (Diawara, 76è), Dja Djedjé
Nice : Letizi (c) - Diakité, Civelli, Pejcinovic, Clerc - Digard (Traoré, 38è), Sablé, Faé, Ben Saada (Bamogo, 81è) - Ljuboja, Mounier (Moulougui, 69è)Dès les premières minutes, le Gym montre ses intentions : prendre le contrôle de la partie. Un corner de Mounier plus tard, Ljuboja a la première balle de but. Servi dans la profondeur par Ben Saada, sa frappe croisée, cadrée, trouve Merville (8e). Dans la minute suivante, le Tunisien frappe de l'entrée de la surface. Au-dessus.
Les Niçois, maîtres du cuir, bafouillent cependant le geste décisif. Dommage, car ils parviennent à créer les décalages et mettre la défense provençale hors de position. Mounier obtient un corner que Ljuboja, au second poteau, remise vers Clerc, contré (30e). Soixante secondes plus tard, à vingt mètres, Sablé manque de cadrer un coup-franc obtenu par Ben Saada. Le goal semblait battu? D'une subtile louche, le même Sablé trouve Ljuboja dans la surface, mais le drapeau se lève (36e). Gêné par des maux intestinaux, Digard cède sa place à Traoré.
Le Gym affiche plus de 55% de possession de balle, tente et tente encore, s'approche de plus en plus du but de Merville. Dans le temps additionnel, Une superbe transversale de Mounier démarque Clerc au second poteau. Sur le reculoir, le contrôle poitrine est trop délicat. Ben Saada ne peut exploiter cette balle perdue et les vestiaires sont rejoints sur un score vierge.
Letizi décisif
Dès la reprise, les deux équipes se jettent alternativement à l'attaque, mais les actions échouent loin des gardiens. Ambitieux dans le jeu, les Aiglons se découvrent et l'ACA en profite pour placer quelques contres. Le plus bel arrêt du match ? Signé Lionel Letizi, lecteur avisé du jeu sur cette reprise de Cabella à bout portant (58e). Le pressing arlésien-avignonnais se resserre, Nice recule. Mouloungui (67e) puis Bamogo (78e) apportent leur percussion, en vain. A 25 mètres, Ben Saada contrôle, crochète, frappe du droit. Il est contré.
Ljuboja et ses partenaires se battent comme des beaux diables pour ne pas être pris à défaut, et tenter de poignarder les hommes d'Hadzibegic dans les derniers instants. Mais c'est encore Letizi qui brille en captant parfaitement un tir enroulé de Dja Djedje (88e).
Temps additionnel : Mouloungui remonte tout le terrain balle au pied, grille quatre adversaire mais se heurte au gardien, sorti à sa rencontre.
Malgré une maîtrise du match et de l'adversaire dans un contexte jamais facile, les hommes d'Eric Roy n'auront su porter l'estocade, principalement par maladresse offensive. Mais les Aiglons, ces neuf derniers mois, ont bien grandi et forment une équipe devenue solide : quand elle ne sait pas gagner, elle sait ne pas perdre. Et assurer l'essentiel.
9.085 spectateurs
Arbitre : M. Varela
Avertissements : Cabella à Arles-Avignon ; Diakité, Sablé à Nice
Arles Avignon : Merville - Laurenti (c ; Fanchone, 22è), Pavon, Germany, Soro - Ben Idir, Kermorgant, Meriem (Ghilas, 63è), Cabella - N'Diaye (Diawara, 76è), Dja Djedjé
Nice : Letizi (c) - Diakité, Civelli, Pejcinovic, Clerc - Digard (Traoré, 38è), Sablé, Faé, Ben Saada (Bamogo, 81è) - Ljuboja, Mounier (Moulougui, 69è)Dès les premières minutes, le Gym montre ses intentions : prendre le contrôle de la partie. Un corner de Mounier plus tard, Ljuboja a la première balle de but. Servi dans la profondeur par Ben Saada, sa frappe croisée, cadrée, trouve Merville (8e). Dans la minute suivante, le Tunisien frappe de l'entrée de la surface. Au-dessus.
Les Niçois, maîtres du cuir, bafouillent cependant le geste décisif. Dommage, car ils parviennent à créer les décalages et mettre la défense provençale hors de position. Mounier obtient un corner que Ljuboja, au second poteau, remise vers Clerc, contré (30e). Soixante secondes plus tard, à vingt mètres, Sablé manque de cadrer un coup-franc obtenu par Ben Saada. Le goal semblait battu? D'une subtile louche, le même Sablé trouve Ljuboja dans la surface, mais le drapeau se lève (36e). Gêné par des maux intestinaux, Digard cède sa place à Traoré.
Le Gym affiche plus de 55% de possession de balle, tente et tente encore, s'approche de plus en plus du but de Merville. Dans le temps additionnel, Une superbe transversale de Mounier démarque Clerc au second poteau. Sur le reculoir, le contrôle poitrine est trop délicat. Ben Saada ne peut exploiter cette balle perdue et les vestiaires sont rejoints sur un score vierge.
Letizi décisif
Dès la reprise, les deux équipes se jettent alternativement à l'attaque, mais les actions échouent loin des gardiens. Ambitieux dans le jeu, les Aiglons se découvrent et l'ACA en profite pour placer quelques contres. Le plus bel arrêt du match ? Signé Lionel Letizi, lecteur avisé du jeu sur cette reprise de Cabella à bout portant (58e). Le pressing arlésien-avignonnais se resserre, Nice recule. Mouloungui (67e) puis Bamogo (78e) apportent leur percussion, en vain. A 25 mètres, Ben Saada contrôle, crochète, frappe du droit. Il est contré.
Ljuboja et ses partenaires se battent comme des beaux diables pour ne pas être pris à défaut, et tenter de poignarder les hommes d'Hadzibegic dans les derniers instants. Mais c'est encore Letizi qui brille en captant parfaitement un tir enroulé de Dja Djedje (88e).
Temps additionnel : Mouloungui remonte tout le terrain balle au pied, grille quatre adversaire mais se heurte au gardien, sorti à sa rencontre.
Malgré une maîtrise du match et de l'adversaire dans un contexte jamais facile, les hommes d'Eric Roy n'auront su porter l'estocade, principalement par maladresse offensive. Mais les Aiglons, ces neuf derniers mois, ont bien grandi et forment une équipe devenue solide : quand elle ne sait pas gagner, elle sait ne pas perdre. Et assurer l'essentiel.