Au lendemain de la défaite des aiglons à Montpellier, petit tour d'horizon du traitement de cette rencontre dans vos quotidiens et sur le web.Nice Matin

Toujours pas d'éclaircie
Si le Gym n?a cette fois jamais failli dans l?engagement et la détermination, l?OGCN s?est incliné sur la plus petite marge face à un adversaire qui lui a semblé supérieur en l?état actuel des forces.
En l?absence d?un point d?appui (Bagayoko va beaucoup manquer jusqu?au 15 février), le Gym n?a guère pesé au plan offensif. Et ce qui devait arriver : les Aiglons se sont inclinés sur un détail, un coup du sort exploité par le MSHC.
(François PATURLE)


L'Equipe

Montpellier a de la moelle
Trois jours après la claque de Monaco, les Héraultais ont battu de pâles Niçois et confortent ainsi leur troisième place (...)
La première période s'apparenta longtemps à une attaque - défense, comme un exercice d'entraînement où les coach des Blancs, les niçois en l'occurence, aurait simplement passé pour consigne à sa formation de rester en place, d'évoluer en bloc et de contrecarrer les offensives adverses, avec pour unique objectif de ne pas prendre de but.
(Franck LE DORZE)


Sport 24

Montpellier se refait la cerise
A l?issue d?un match pauvre en occasions, Montpellier a dominé Nice (1-0) et conserve sa place sur le podium. Malgré la défaite, les Aiglons peuvent nourrir de sérieux regrets, d?autant que Saint-Etienne est revenu à 3 points en l?emportant à Grenoble.(...)
Didier Ollé-Nicolle avait pourtant bien préparé son affaire. En plaçant les deux nouvelles recrues d?entrée de jeu, le coach niçois a eu le nez creu. Car Digard au milieu et Civelli dans l?axe ont réussi un match plus que correct dans le 4-5-1 habituel. Il aura fallu un coup du sort pour tromper la vigilance de la défense azuréenne. On peut seulement reprocher le manque d?impact offensif niçois mais avec 8 joueurs à la CAN, on ne peut pas demander la lune au technicien niçois. René Girard doit être satisfait de la réaction d?orgueil de ses hommes après la déculottée reçue à Monaco (0-4). Bien en place dans son 4-3-3, Montpellier a pu compter sur le retour de Dzodic, Costa, Montano et Jeunechamp.
(Yoann PALEJ)


Football 365

Montpellier assure l'essentiel
Dans un match fermé, Montpellier a pris trois points importants pour la suite du championnat et conserve sa place sur le podium. Nice, qui ne s'est guère montré convaincant, reste à portée de la zone de relégation. (...)
En première période, Montpellier a montré clairement ses ambitions en jouant haut et en mettant la pression sur le bloc niçois. Mais au fil des minutes, les Aiglons se sont montrés solides défensivement et ont repoussé toutes les tentatives montpelliéraines. Les Héraultais se sont montrés menaçants, surtout sur coups de pied arrêtés. Nice, pas très inspiré offensivement, s'est créé sa première occasion à cinq minutes de la pause. En seconde période, les deux équipes ont essayé de prendre rapidement l'ascendant sur leur adversaire. Nettement plus agressifs, les Niçois n'ont jamais réussi à se montrer dangereux, ne se créant aucune situation favorable. Montpellier, qui a toujours eu la possession de balle en sa faveur, a finalement ouvert le score sur un énorme cafouillage dans la surface. Derrière, les Héraultais ont assuré le strict minimum et prennent ainsi trois points précieux pour la suite du championnat.
(Alban NAULAIS)


Actufoot.06

Sans jouer
éfaite logique du Gym, quasi-inexistant à la Mosson en dépit d'une défense plus solide qu'à l'accoutumée et de recrues prometteuses. (...)
L'OGC Nice pourrait, ce soir, être rassuré. A la recherche d'une solidité défensive après les déboires que l'on sait (32 buts encaissés en 19 matches de championnat, 2 buts en 3 minutes à Plabennec...), le Gym n'a que rarement été mis en danger ce soir. (...) Le problème, ce soir, c'est que l'OGC Nice n'est pas du tout rassuré. Parce que devant, ce fut le néant. D'habitude, le Gym perd de n'avoir pas su défendre. Ce soir, la raison est ailleurs. Dans un déficit technique comme rarement depuis le début de la saison. C'est cela qui explique la possession de balle des Montpelliérains (62%), comme le nombre de frappes niçoises (six, toutes hors

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